La FFMBE ou Fédération Française de Massage Bien Etre à vu le jour il y a moins de 20 ans. Elle fut la première fédération qui représente le métier du massage-bien-être au niveau de l'Etat français et qui offre au public un gage de qualité et de sécurité.
Tout d'abord, être certifié c'est avoir suivi un parcours de formation de minimum 250 heures, soit 9 weekends et avoir passé un examen de fin de formation. Ces écoles, elles mêmes agréées, imposent un cadre et l'acquisition de standards en matière d'hygiène, de professionnalisme, de connaissances anatomiques, de savoir être spécifique aux métiers du bien-être.
Aujourd'hui nous sommes 1500 adhérents et 878 praticiens répertoriés.
Nous avons un début de reconnaissance professionnelle et juridique. Etre agréé c'est donc aussi un acte militant pour que le massage rentre dans la culture française et dans les mœurs !
Pour votre information voici les 16 recommandations du livre blanc déposé et défendu par la FFMBE au parlement !
Les revendications de la FFMBE pour les professions du massage :
> La reconnaissance d’un espace juridique et technique particulier pour l’ensemble des professions de la prévention, de l’accompagnement à la santé et du bien-être.
> La création d’une branche professionnelle regroupant l’ensemble des professions de la prévention, de l’accompagnement à la santé et du bien-être.
> L’officialisation et la stabilisation d’un classement des professions du massage de prévention, d’accompagnement à la santé et de bien-être dans le champ juridique des professions libérales.
> La création d’une sous-classe NAF dédiée aux activités de massage de prévention, d’accompagnement à la santé et de bien-être.
> La stabilisation du classement des professions du massage sous régime BNC professions libérales affiliées au régime général.
> La généralisation de l’application aux professions du massage du régime social URSSAF groupe PLNR (professions libérales non réglementées) / commerçant.
> Que la reconnaissance et l’encadrement des professions du massage soient adossés au ministère de la Santé et de la Prévention.
> La reconnaissance du code FFMBE de déontologie des professions du massage par les pouvoirs publics et son extension à toutes les professionnels concernés.
> Que l’exercice du massage ne puisse être autorisé qu’à des praticiens titulaires d’un socle de formation de 300 heures.
> La création et la reconnaissance d’une profession de massothérapeute assortie d’un socle de formation de 1.300 heures.
> L’inscription des formations au massage au répertoire national des certifications professionnelles RNCP.
> Que des instances de recherche soient missionnées pour compiler, organiser et diffuser le corpus des connaissances scientifiques en matière de massage.
> La création d’un secteur de recherche dédié au massage, à ses techniques et à ses bénéfices.
> Le référencement du massage parmi les techniques de soins complémentaires prises en charge par les mutuelles santé.
> La reconnaissance de la marque collective France massage® et l’extension de son application à tous les professionnels et établissements de massage.
> La reconnaissance de la future norme AFNOR des professions du massage par les pouvoirs publics et la prise en considération de celle-ci pour la définition du cadre réglementaire qui leur est applicable.
Comments